Oh, vous pensiez que je rentrais dans le détail de la dernière grève de métro? Non, chers lecteurs, nous allons parler de sexe! Oui, la sexualité est aussi importante que le petit déjeuner pour nos athlètes de haut niveau. Vous auriez peut-être pensé que ces gars et filles ultra concentrés seraient abstèmes et monastiques avant une compétition. Eh bien, laissez-moi éclater votre bulle de mythes dépassés. Même s’ils transpirent en plein soleil du jour, nos athlètes ne sont pas étrangers au jeu de l’amour. Vous l’avez entendu ici d’abord! Mais attendez, il y en a plus. Voilà une pilule dure à avaler. Les rencontre intimes ne sont pas seulement pour le plaisir, elles sont aussi, dans une certaine mesure, une forme de dopage naturel. Oui, je n’exagère pas. Elles peuvent déclencher la production de dopamine, l’hormone de la joie et du bonheur. Il s’avère que le cerveau humain est un laboratoire chimique très sophistiqué, qui produit des substances pour se motiver lui-même. Et tout comme une pauvre petite abeille est attirée par le doux nectar, nos sportifs sont motivés par l’anticipation de la rencontre intime. Qui peut leur en vouloir? Tout travail et pas de jeu rend un athlète médiocre, après tout. Alors voilà le scoop : pour votre sportif favori, le sexe n’est pas seulement un moyen d’échapper à l’ennui mais un fil d’Ariane vers un meilleur rendement en compétition. Pour citer un sage anonyme, « Le sexe ne crée peut-être pas de champions, mais il ne les empêche pas non plus de l’être. » Prenez ça, ascétisme!
Le sport et l’adrénaline : une combinaison sexy
Alors, on raconte que le sport et l’adrénaline font une combinaison sexy ? Qui aurait pu imaginer que transpirer comme un cochon sous un soleil de midi pourrait être aussi sexy ? Les athlètes ne sont pas seulement accros à la ligne de fin, mais aussi à l’odeur de la sueur et de l’effort. Rien de tel que le cocktail de sensations fortes qui vous explose en pleine face. C’est une sorte de fixette qui donne un nouveau sens à l’expression « no pain, no gain ». Et si vous pensez que les athlètes sont extrêmes sur le terrain, attendez de les voir pendant leurs soirées de détente. Sexe, fête, sport, ils ne font rien à moitié. Le football existe, mais le « beer pong » se trouve au même niveau de compétence. Imaginez une célébration post-victoire, des athlètes se transformant en party animals, buvant à quatre nez, riant et flirtant. Pourquoi ? Parce qu’ils sont construits ainsi – la même énergie qui les fait sprinter sur le terrain leur fait également faire des déclarations d’amour maladroites à 3 heures du matin. « Mais honnêtement, qui ne fait pas ça? » me demanderez-vous. Eh bien, peut-être pas votre grand-tante Gertrude. Mais qui sait? Elle était peut-être une balle de ping-pong maître une fois dans sa vie. C’est une mode de vie que peu de personnes peuvent comprendre. Mais une chose est sûre, entre le sport et le sexe, il y a cette petite dose d’adrénaline qui fait toute la différence. Si seulement nous pouvions mettre cela dans une bouteille ! Peut-être alors, les clubs de gym seraient remplis et les gens comprendraient enfin pourquoi nos chères athlètes aiment tant faire la fête.
L’amour dans le sillage de l’exercice: la théorie du coregasme
L’amour dans le sillage de l’exercice : la théorie du coregasme, vous en avez entendu parler ? Eh bien, mes chers accros au sport, il semblerait que nos amis les abdos et autres muscles pelviens cachent un petit secret coquin. Les petites bêtes échauffées que nous sommes, curieuses et en quête d’adrénaline, découvriront que l’activation de ces muscles lors d’un exercice peut stimuler indirectement notre oh-so-cher système nerveux. Tenez-vous bien, athlètes sexy : cela peut déboucher sur un orgasme ! Oui, oui, pas besoin de finir sous la couette, votre corps vous réserve des surprises jusque dans la salle de sport. L’orgasme induit par l’exercice, ou « coregasme », comme on l’appelle entre connaisseurs (et peut-être bientôt entre pratiquants assidus), a un impact aussi intéressant sur vos relations sexuelles. Vous en voulez plus, n’est-ce pas ? Ça tombe bien ! Nos muscles pelviens et abdominaux, ravis de jouer les trouble-fêtes pendant nos séances de sport, aiment également nous montrer qu’ils sont de véritables compagnons de route dans nos explorations amoureuses. Ils sont en effet les acteurs principaux qui boostent nos performances sexuelles et sportives – double jackpot, mes amis ! N’attendez plus, chaussez vos baskets et offrez-vous des séances d’entraînement passionnées. Qui sait ? Peut-être que, tôt ou tard, lors d’une séance de sport torride, vous pourrez dire : « J’ai eu un coregasme, et toi ? »
La beauté du corps d’un athlète et son effet aphrodisiaque
Ah, les athlètes. Sculptés par Zeus lui-même, ces demi-dieux de l’effort font grimper la température rien qu’en arborant des tenues sportives. Leur corps parfaitement sculpté et athlétique a un attrait sexuel presque indécent : Les abdos dessinés à la perfection, des fesses fermes – ah oui, très important pour les joggings sur la plage -, et des bras puissants pour lever haut les trophées… ou pas que les trophées (soupir langoureux). À force de transpirer pour conquérir leur rêve, ils deviennent plus que de simples humains. Ils sont des idoles, des symboles de désirabilité. Ce fantasme puissant, cette machine bien huilée dont le moteur est un cœur en forme de médaille d’or. La confiance en soi s’ouvre, grandit, se déploie comme les ailes d’un papillon sortant de sa chrysalide (ou comme un culturiste sur une machine Smith). C’est comme un super pouvoir, vous savez. Si vous pouvez soulever deux fois votre poids corporel ou courir plus vite que votre ombre, vous pouvez absolument vaincre le monde, et surtout le cœur des gens. Et si vous avez du mal à attirer les gens avec votre charme ravageur, eh bien… il vous reste toujours la possibilité de les impressionner avec votre performance au squat. (Ou simplement les écraser sous votre poids, c’est vous qui voyez!) Alors, si vous voulez augmenter votre désirabilité et que vous n’avez pas peur de suer un peu (beaucoup), quoi de mieux que le sport?
Le sexe comme moyen de décompresser pour les athlètes
Ah les compétitions sportives, ces moments où la pression est tellement énorme que vous vous demandez si vos vêtements sont réellement en coton ou en PVC. Où vous commencez à suer comme un porc en plein désert du Sahara chaque fois que vous pensez à ce qui vous attend. Mais vous, cher athlète, avez trouvé une solution unique pour neutraliser cette chaleur intérieure ennuyeuse : les ébats amoureux. Maintenant, n’allez pas vous imaginer que faire l’amour avant une compétition va vous transformer en Superman ou en Wonder Woman (même si dans la chambre, vous pouvez parfaitement vous sentir comme tels). C’est plutôt comme un decompressant, un baume doux qui chasse le stress de votre esprit pour y introduire de la sérénité. Et entre nous, qui ne préférerait pas arriver pour une compétition avec les papillons dans le ventre et non avec les moucherons du stress ? Entrez donc dans l’arène avec la fierté d’un paon qui a tiré son coup, décontracté et prêt à briser des records. De plus, selon certaines théories non scientifiques que je viens d’inventer dans ma tête, se prélasser dans les bras de quelqu’un avant de s’élancer dans l’épreuve pourrait vous permettre d’économiser de l’énergie (oui, oui, même après tout le « travail de jambes »). Après tout, c’est toujours plus reposant que de passer l’heure précédente à se balancer nerveusement en arrière et en avant, en fixant le chrono et en se mordant les ongles, n’est-ce pas ? Alors voilà… peut être que faire l’amour ne vous garantira pas une médaille d’or, mais au moins, vous aurez une médaille du mérite dans la course au bonheur et à la détente.
La performance sexuelle comme indicateur de performance sportive
Trébucher sur des chaussures ouvertes en sortant du lit à cause d’une nuit d’amour passionnée… Vous savez quoi ? Laissez tomber, la performance sportive peut en prendre un coup. L’idée que le sexe avant une compétition peut nuire à la performance est un débat qui laisse les chercheurs aussi confus qu’un canard hors de l’eau. Oh là là, attendez les scientifiques, ne jetez pas encore l’éponge ! Il y a quand même quelques indices intéressants. Certains athlètes prétendent que renoncer à la bagatelle avant la compétition augmente leur concentration et leur agressivité. D’un autre côté, ceux qui se prélassent dans les bras de leur partenaire la veille d’une compétition assurent qu’un petit calin les aide à se détendre et à mieux dormir. Et que dire des hormones libérées lors de l’action sous la couette ? On sait que l’orgasme libère de l’ocytocine, une hormone qui provoque une sensation de bien-être et qui pourrait, selon certains, améliorer la performance. Par contre, l’idée que l’éjaculation diminue le taux de testostérone est fausse. Ok, les chercheurs n’ont toujours pas tranché, mais au moins, ils nous rassurent ! Alors, le sexe avant la compétition, bonne ou mauvaise idée ? Comme le dit si bien l’adage, faites ce qui vous plaît ! Prenez juste soin de ne pas trébucher sur vos chaussures…
Conclusion
Alors, voilà le deal, sportifs de salon ou d’élite, le sexe et le sport s’entendent comme larrons en foire. Dopamine, adrénaline, muscles réveillés, corps de rêve bien sculpté… la performance sportive et sexuelle sont vraiment des frères jumeaux. Chacun se nourrit de l’autre, s’épaule et le propulse vers le sommet, au grand dam des canapés et autres tentations sédentaires. Alors, moulés dans vos tenues de sport ou perdus dans les draps froissés, n’oubliez pas que vous êtes des athlètes dans tous les sens du terme. Le sport, c’est la vie, le sexe … c’est la cerise sur le gâteau ! On se voit à la prochaine orgie olympique, hein ? Allez, on arrache tout !